L’aventure commence dès lors qu'on accepte de sortir de sa zone de confort...

Le lac Tekapo en Nouvelle-Zélande

Le lac Tekapo en Nouvelle-Zélande

samedi 31 octobre 2015

Les affaires que j'ai emportées

Lors des préparatifs d’un tour du monde, une fois qu’on a défini un projet d’itinéraire, une des grandes questions qui survient fatalement c’est « qu’est-ce que je vais emporter comme affaires ? ».


Deux impératifs contradictoires se font face :
  • Voyager léger, afin de pouvoir se déplacer facilement avec ses affaires sans s’épuiser si on doit faire quelques kilomètres pour trouver un hébergement satisfaisant.
  • Ne pas oublier de choses essentielles et qui sont difficiles à trouver sur un autre continent.

Au départ (début août 2014), mon grand sac à dos (95 litres) pesait 20,6 kg et mon petit sac à dos (35 litres) 7 kg. Donc beaucoup trop lourd. La faute à trop de médicaments, à des articles en double (gel douche, dentifrice…), mais aussi parce que je n’avais pas envie de faire la lessive tous les 1 ou 2 jours et parce que j’avais fait le choix d’emporter quelques affaires « de confort » (ex. : pyjama en coton pour les nuits un peu fraîches). En 6 mois je me suis rapidement allégé de 4 kilos puis les mois suivants d'un kilo supplémentaire, mais cela est resté encore un peu trop lourd. Je me suis stabilisé à environ 16,5 kg pour mon grand sac et à 5 pour mon petit sac, mais ça fait beaucoup... sans compter un instrument de musique (ukulele) qui pèse 1,5 kg avec son étui alors que je ne l'utilise quasiment pas... Tant pis, et puis j'ai assez de force dans mon corps pour porter tout ça...

Voici donc la liste des affaires que j’ai emportées, avec quelques commentaires personnels…
Vêtements :
pour tous les jours : 4 slips (j’aurais pu descendre à 3 mais 4 c’est bien) - 1 short/maillot de bains (pour nager et pour mes joggings) – 1 pantalon de trek convertible Patagonia (indispensable, génial de transformer un bermuda en pantalon quand il commence à faire frisquet ou quand les moustiques passent à l’attaque) – 1 joli pantalon de sport noir pour mettre le soir – une paire de sandales de marche (indispensable) – une paire de tongs (tout le monde m’avait dit d’en prendre mais au final je m’en sers surtout comme des pantoufles, ça fait doublon avec ma paire de sandales de marche) – ma paire de chaussures de trail (sert à la fois pour mes randonnées, pour mes joggings et pour marcher en ville le soir), une petite housse en coton pour chaussures (évite de salir l’intérieur de mon sac à dos) – 2 paires de chaussettes basses de jogging - 1 paire de chaussettes de ville en coton ultra léger (pour les nuits fraîches) - 1 jolie chemise de rando manches courte en fibre synthétiques (indispensable, sert aussi bien pour les activités en journée que pour sortir le soir) – jolie tunique indienne en coton très légère (pour sortir le soir) - 1 maillot de corps en V ultra léger (pour les soirées fraîches) - 1 tee-shirt manches longues microfibres - tee-shirt manches longues en coton (fait plus "habillé") - 3 tee-shirts manches courtes microfibres (indispensable) - 1 ceinture en toile avec fermeture éclair (pour cacher quelques dollars).
pour randonner : une jolie veste micro polaire noire (sert aussi pour sortir quand les nuits sont fraîches) – Veste imperméable (type K-way) Quechua neuve (j’aurais pu prendre une veste Gore-Tex, plus résistante au froid mais plus lourde, mais je me sens bien dans cette veste) – 1 tee-shirt manches longues microfibres chaud - 1 passe-montagne en fibre polaire légère - 2 paires de chaussettes de rando basique (sert pour la rando ou pour les nuits très froides) – chapeau de soleil avec cordelette - 2 foulards en coton pour protéger la nuque des coups de soleil - lunettes de soleil indice 3 + lunettes de soleil de secours si je perds ou me fais voler les autres (indice 4 pour la montagne), une petite boussole (très utile, même dans les grandes villes !) - un bâton de marche télescopique (deux c'est mieux mais un ça prend moins de place et ça aide déjà énormément pour soulager les genoux dans les montées et les descentes et aussi pour les franchissements de ruisseaux
.
pour dormir : 1 pyjama en coton – 1 tee-shirt coton léger - 2 caleçons en coton – petite taie d’oreiller en coton fin 50x70 cm (utile lorsque l’oreiller est soit pas très propre soit rêche) - sac à viande en soie et coton Vieux Campeur (très utile, lorsque les draps de l’hôtel ne sont pas très propres, ou lorsqu’il n’y a pas de draps fournis) - un châle en laine très fine de 2 mètres de long (très utile notamment dans les bus de nuit ou les trains couchettes, mais sert aussi pour ne pas avoir froid lors des séances de méditation assise).

Trousse de toilette : brosse à dents, 2 petites brosses interdentaires, dentifrice, rasoir à main + 6 lames de rechange, petite bombe de mousse à raser, miroir de poche (pour se raser ou se coiffer, mais pas très utile car il y a des miroirs dans tous les hébergements, et s’il n’y en a pas, je ne me rase pas), brosse à cheveux, plusieurs mini savonnettes d’hôtel, des petits sachets de lessive en poudre (s'achète facilement durant le voyage), 1 bouteille de shampoing de 250 cl (un peu lourd, mais c’est le seul format disponible en supermarché) remplacée temporairement par des shampooings solides Lush, 1 tube de crème Nivéa, 2 coupe-ongles (un petit et un gros pour le gros orteil des pieds), boules Quies (indispensable en auberges de jeunesse et pour les hôtels en Asie ou en Inde), cotons tiges, 2-3 lingettes rafraîchissantes, une mini trousse de toilette (pour quand je prends un bus de nuit, un train de nuit ou l'avion).

Trousse à pharmacie :
pour les intestins : quelques tablettes de Micropur Forte (bien utile quand on a oublié d’acheter une bouteille d’eau minérale et que tout est fermé la nuit, ou si on se retrouve en pleine nature sans eau potable), un antidiarrhéique genre Tiorfan (fait aussi désinfectant intestinal) - Zithromax (antibiotique large spectre + si crampes, vomissements ou sang dans les selles), gel lavage de mains sans rinçage (anti bactérien) type Baccide.
contre les hémorroïdes (épices...) : crème Proctolog ou Titanoreïne (pas indispensable)
contre les coups de soleil : crème solaire protection 30 (après 3 mois et demi de voyage je ne m’en suis servi que 3 fois, en montagne, car je me protège avec un chapeau et un foulard), un tube de Biafine (indispensable)
contre les moustiques : spray anti-moustiques avec du DEET à 50% + un autre que j’avais en stock (erreur : un seul aurait suffi, du coup je l'ai refilé à un autre voyageur), insecticide sur les vêtements à base de perméthrine, diffuseur indien « All Out » qui se branche sur prise électrique (probablement une erreur de me le trimbaler pendant des mois alors que je peux m’en acheter un nouveau en Inde), petit tube de crème anti-moustiques indienne, Malarone (en curatif pour le paludisme : servira surtout pour l’Amazonie)
contre les blessures et les bobos : pansements pré-découpés de différentes tailles, sparadrap, désinfectant en spray (Biseptine ou Hexomedine), crème cicatrisante (pas forcément utile), quelques compresses de gaze, sutures adhésives SteriStrip (pas forcément utile), 10 épingles à nourrice (pour fixer ou réparer ; fait fonction d'épingle à linge, et permet de fermer ses poches pour se protéger des pickpockets), un tire-tique (utile pour les randos en forêt, mais je ne m’en suis jamais servi)
contre les tendinites : Ibuprofène 400 mg = Advil (intéressant car à la fois anti-douleur, anti-fièvre et anti-inflammatoire), bandage extensible (Elastoplast) de 6 cm, une genouillère (pour soulager un genou fatigué lors des grosses descentes en trek)
contre les courbatures : Sporténine et 2 tubes de granules homéopathiques d’Arnica 9 ch (très utile pour récupérer physiquement dans les randos difficiles)
contre les ampoules : pansements spécial ampoules Compeed et Second Skin (probablement inutile pour moi car je n’ai jamais d’ampoules aux pieds quand je fais de la randonnée)
contre le rhume : Actifed (antihistaminique, très efficace contre le rhume), Lysopaïne (pastilles assez efficaces contre le mal de gorge).
divers : vitamine C non effervescente, compléments alimentaires (magnésium), paracétamol 1000 non effervescent (sinon Di Antalvic), anti-mycosique (genre Pevaryl), thermomètre à alcool incassable, somnifères (Stilnox, Lexomil), décontractant musculaire (Myolastan ou Miorel), pince à épiler (sert pour enlever les épines), spray nasal (pollution des grandes villes en Chine et en Inde) type Sterimar ou flacons de sérum physiologique (0,9% de chlorure de sodium).

Autres affaires : un grand sac à dos Bach 95 litres (ne pas hésiter à essayer différents types sacs à dos dans les boutiques et à y mettre le prix, car il sera votre meilleur ami (ou ennemi si vous l’avez mal choisi), votre maison, tout au long de votre voyage) et une housse de transport Quechua (pour protéger les sangles du sac à dos dans les aéroports et les avions, pour protéger le sac de la poussière sur le toit ou dans les soutes des bus, et pour dissuader les tentatives de vol) – petit sac à dos EastPak 35 litres (pour se déplacer au quotidien et aussi pour faire des petits treks de 2-3 jours) + 2 housses imperméables pour sacs à dos (très utile) – un mini sac à dos Décathlon ultra léger qui se roule en boule (très utile par exemple pour aller à la plage) – 1 grand sac poubelle de 130 litres (pour protéger les affaires de la pluie dans le sac ;fait un peu doublon avec les housses imperméables) – 3 petits sacs de rangement (un sac à dos cela reste un grand fourre-tout avec lequel on se bat quotidiennement, donc avoir des petits sacs de rangements permet d’organiser un peu son « bordel ») : un pour recevoir tous les câbles et connecteurs de mes appareils électroniques ; un autre pour ranger les sous-vêtements et chaussettes, permettant de ne pas avoir à retourner tout le sac à dos pour retrouver cette maudite deuxième paire de chaussettes ; un pour ranger mes vêtements sales - 2 étiquettes plastique « avion » avec mon adresse - lunettes de vue « loupe » pour lire, une serviette microfibres Décathlon (indispensable car prend peu de place et sèche très rapidement), 1 gant de toilette en coton, une petite éponge-fleur en nylon, un sorong (pareo) pour faire serviette de plage, une mini-brosse (pour lessive), des sachets plastique de congélation zippés de différentes tailles (protège les affaires et papiers de l’humidité et de la pluie), un sachet de mouchoirs en papier, 1 petit cadenas à combinaison (utile pour fermer son casier dans les auberges, aussi pour fermer son sac si on doit le laisser dans une consigne) – 1 cadenas à clé, un fil d'acier (Vieux Campeur) pour attacher un sac avec le cadenas,  montre à quartz Décathlon – un mini-kit de couture – 2 petits porte-monnaie (un pour les grosses coupures et un pour les petites coupures et les pièces) – masque occultant pour dormir dans l’avion et le train - masque de chirurgien (pour se protéger de la pollution dans les grandes villes en Chine et en Inde) – un disque de caoutchouc pour boucher les éviers (très utile pour faire des lessives) - 1 balle de squash (sert parfois pour boucher certains lavabos et faire sa lessive) - une corde à linge (car il n’est pas toujours possible de suspendre ses affaires mouillées) – 5-6 pinces à linge - 1 petite serviette de table en coton - un couteau suisse (sert très souvent : ouvre-boîte, couteau, ciseaux… ne pas oublier de le mettre dans le grand sac lors des voyages en avion…) – une fourchière (fourchette-cuillère deux en un) - 1 rouleau de papier WC (ne jamais oublier d’avoir toujours du papier toilette sur soi à l’étranger, car plein de WC n’en ont pas) et 1 petit briquet pour sa destruction (lorsqu’on est dans la nature) - lampe de poche frontale (idéale pour éclairer son chemin dans une zone rurale, en cas de panne d’électricité, et plus régulièrement dans un dortoir pour ne pas réveiller les autres voyageurs ; elle permet aussi d’avoir les mains libres) avec piles de rechange – petits cadeaux (mini Tours Eiffel, etc.) - un ukulélé (acheté d'occase en France à la fin de ma 1ère année).

Informatique / Photo / Téléphonie : ordinateur Asus Transformer avec écran tactile amovible de 10 pouces de 1,2 kg (un poil trop lourd mais excellente autonomie et le disque dur de 500 Go permet de stocker des films, de la musique, mes photos et vidéos de voyage…) + housse de protection (contre poussière et humidité), mini-disque dur externe de 500 Go (pas indispensable dans mon cas mais je l’ai pris quand même), 1 carte micro SDHC de 32 GB, 1 grosse clé USB de 64 Go OTG (avec port micro USB, ce qui permet de la brancher sur le smartphone), antenne USB WI-FI pour PC portable, appareil photo numérique Olympus TG-2 (waterproof et résistant aux chocs : l’appareil photo idéal du baroudeur) + 2 cartes mémoire SD + son chargeur, 2 chargeurs USB (au cas où j’en perde un, mais c’est probablement inutile : un seul suffit), smartphone Samsung Galaxy S2 (sert aussi pour réveil-alarme ; j’ai choisi exprès un modèle un peu ancien car il était pas cher (en cas de vol ou de perte) ; très utile pour le GPS (même au milieu des rizières en Chine il me retrouve le sentier du village !), pour la messagerie instantanée type WhatsApp, pour relever ses e-mails sans avoir à sortir son (ordinateur, pour traduire des mots en langues étrangères, pour écouter de la musique durant les longs trajets et pour plein d’autres choses, bref indispensable) que j'ai du remplacer par un Samsung Galaxy S4 mini acheté d'occasion après que mon S2 m'ait lâché dans l'Amazonie + une carte SIM prépayée avec de la 3G achetée dans chaque pays traversé et avoir ainsi un numéro local sue lequel on peut vous joindre (très pratique lorsque l’on se fait quelques amis dans un pays) + son chargeur + un kit piéton + 1 batterie de secours + une batterie externe Power Bank 5600 mAh (très utile pour recharger la batterie du smartphone quand il n’y a pas de prise électrique à proximité), un adaptateur de prise universel (indispensable).
Pour plus de précisions sur tout mon équipement électronique, lire mon article L’électronique en voyage... avec modération !.

Paperasse et moyens de paiement :
dans 1 chemise cartonnée à élastiques : photocopies des papiers importants : passeport + attestations d’assurances + extrait d'acte de naissance, permis de conduire international, billets électroniques d’avion imprimés, carnet d’adresses (famille + amis + numéros d’urgence), mon carnet international de vaccination + carte de groupe sanguin + facture de l’appareil photo et de l’ordinateur
dans pochette-ceinture coton (à garder sur soi à l’intérieur du pantalon, j’en ai emmené une deuxième pour quand la première est sale) : permis de conduire, 2 CB (Visa Premier Boursorama, Visa Premier Hello Bank) + carte Banque Populaire « uniquement gestion des comptes en ligne », quelques dollars américains (ça peut toujours servir en cas d'urgence).
autres : 1 stylo – un bloc-notes (pour noter les adresses des hébergements, les contacts croisés en route, très pratique pour que des personnes vous notent leurs coordonnées et des conseils) – 125 cartes de visite « tour du monde » (à laisser aux voyageurs avec qui je veux rester en contact) - un gros marqueur noir pour faire du stop

Bouquins : Guides de voyage de mes 2 ou 3 premiers pays + Guide G’palémo (guide de conversation universel sous forme de dessins et illustrations, très utile dans des pays comme la Chine) ; un bouquin en français (roman) et un livre de psychologie (à la place de prendre beaucoup de livres, j’aurais pu emporter une liseuse type Kindle à la place, car cela permet d'avoir autant de livres et magazines qu’on le souhaite, sans prendre de place ou de poids) ; un classeur plastifié d’une dizaine de pages pour contenir des cartes géographiques imprimées et un petit album avec de photos de mes proches et de la France à montrer aux gens que je rencontre en cours de route (les gens adorent quand on partage avec eux ces moments d’intimité).

Ce que je n’ai pas pris parce que je n’avais pas la place (mais que j’aurais bien aimé mettre dans mon sac…) :
1 collant type Odlo warm (utile uniquement en trek de haute altitude : à la place j’ai parfois utilisé mon bas de pyjama pour doubler mon pantalon de trek) – un oreiller de voyage (lorsque l’oreiller fourni est trop gros ou trop dur) – un petit parapluie (lorsqu’il pleut beaucoup, un K-way est parfois insuffisant – un aspi venin (à cause des avis contradictoires j'ai finalement décidé de ne pas en acheter et effectivement je n'en ai pas eu besoin).

Ce que j'ai acheté en cours de route :
1 sac à viande en polaire pour doubler mes sacs de couchage de location (pour les treks en Bolivie et au Pérou) - Un bon hamac (à mailles fines) acheté (puis offert ensuite en cadeau pour m'en débarrasser) pour dormir dans le bateau pour descendre le fleuve Amazone

En résumé…
Les affaires qu'on emporte dans une situation de ce type sont très liées à des choix personnels (niveau de confort qu'on veut préserver, concessions qu'on est prêt à faire ou pas, etc.). Néanmoins, la question qui me vient à l'esprit à ce sujet est la suivante : quand on part pour 2 ans en vue de visiter plusieurs dizaines de pays autour de la planète, situés à des latitudes variées et où l'on rencontrera des climats eux aussi très variés, faut-il nécessairement prévoir d'emporter dès le départ un ensemble exhaustif d'affaires (vêtements ou autres) en vue de répondre à l'avance à tous les besoins qui se présenteront ? La réponse me semble être très clairement : non.
Je préconise donc d’adopter la position suivante :
  • Identifier les affaires indispensables au bon accomplissement de mon périple (documents, argent, moyens de communication, adresses utiles, éléments de sécurité, ...)
  • Prendre ce qui me paraît nécessaire pour les 2-3 premiers mois, vu que j'ai normalement une assez bonne idée des régions visitées et des circonstances auxquelles je pourrais être confronté dans cette période
  • Compléter avec des affaires qu'il me sera sans doute difficile de trouver en cas de besoin dans les pays et mois suivants et dont il me serait difficile de me passer (certains médicaments, matériels "communicants" ou de technologies occidentales, ....)
  • Et pour terminer, faire une petite - la plus petite possible - liste d'affaires qui me tiennent à coeur de manière plus subjective (ça, s'est vraiment perso) et que j'ai envie d'emporter en complément.
  • Et pour le reste, c'est-à-dire sans doute beaucoup, voir sur place le moment venu, en fonction des opportunités qui se présenteront.
L’équipement est primordial lorsque l’on part en tour du monde. Mais il n’y a pas de contenu idéal pour un sac à dos de tour du monde ou de voyage de longue durée. C’est à vous de réajuster son contenu en fonction de ce dont vous avez besoin et ce qui vous semblera inutile au fur et mesure de votre aventure. Il faut surtout ne pas hésiter à se débarrasser des choses dont vous ne vous servez pas, pour garder l’essentiel. Car une chose est sûre : le poids est l’ennemi voyageur en sac à dos. Donc il faut se forcer à voyager léger et à n’emporter que le nécessaire avec soi, ne rien prendre en double, vous arriverez toujours facilement à vous approvisionner sur la route ! De plus, un voyage avec un sac lourd est beaucoup moins agréable, on se fatigue plus vite, on s'arrête au premier hôtel (ce qui revient souvent plus cher), on prend le taxi au lieu de marcher, etc.

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